God Damn Shit
Hello,
Je commence à me demander si je ne devrais pas hurler de rage au lycée lorsque quelque chose me déplaît. Si c'était le cas, ma voix serait constamment enrouée.
En tout cas, le fait de subir une injustice en cette journée du Lundi (précédée par Dimanche) m'a fait rendre compte que dans certains cas "ça passe, ou ça casse". En l'occurence, là, c'est la seconde option.
Treize heures. Je termine mon cours de latin (moins fatigué que lors du même cours la semaine dernière) et je vérifie mon sac. Horreur ! Je n'ai pas de carte de cantine ! Voyons... Je n'ai pas le temps de le faire signaler à l'administration en premier, je vais donc en parler directement à la cantine. Espérant une quelconque reconnaissance de la part du pion qui vérifie si nous possédons notre carte, je lui réponds cette fois-ci, exceptionnellement, que non. Sa réponse est claire, brutale : "Tu peux repartir."
Horreur ! Repartir, sans un sou, le ventre vide ? Quelle agonie ! Ni une ni deux, je prends mes jambes à mon bassin et je me dirige chez moi, à environ une demi-heure - trois-quarts d'heure de mon lieu de travail. Je refuse d'étudier affamé. J'ai donc décidé de rester à ma maison afin de déjeuner car il faut expliciter ma raison de mon départ : un cours de sport épuisant puis quatre heures de cours l'après-midi. Comment peut-on rester en état d'attention et de prise de notes en pensant sans cesse à manger ? M'enfin ! Comme le dit mon professeur de français : "Si vous avez sommeil, restez chez vous." Par conséquent, si l'on a fait également.
Je trouve cela étrange de ne pas être indulgent envers les personnes affamées et venant à peine de sortir de cours (EPS, de surcroît !). Pensera ce que chacun voudra, il faut parfois prendre des décisions qui ne plaisent certes pas à tout le monde, mais les plus raisonnables possible.
Prenons donc un peu de repos après une dure matinée.

See ya !
Je commence à me demander si je ne devrais pas hurler de rage au lycée lorsque quelque chose me déplaît. Si c'était le cas, ma voix serait constamment enrouée.
En tout cas, le fait de subir une injustice en cette journée du Lundi (précédée par Dimanche) m'a fait rendre compte que dans certains cas "ça passe, ou ça casse". En l'occurence, là, c'est la seconde option.
Treize heures. Je termine mon cours de latin (moins fatigué que lors du même cours la semaine dernière) et je vérifie mon sac. Horreur ! Je n'ai pas de carte de cantine ! Voyons... Je n'ai pas le temps de le faire signaler à l'administration en premier, je vais donc en parler directement à la cantine. Espérant une quelconque reconnaissance de la part du pion qui vérifie si nous possédons notre carte, je lui réponds cette fois-ci, exceptionnellement, que non. Sa réponse est claire, brutale : "Tu peux repartir."
Horreur ! Repartir, sans un sou, le ventre vide ? Quelle agonie ! Ni une ni deux, je prends mes jambes à mon bassin et je me dirige chez moi, à environ une demi-heure - trois-quarts d'heure de mon lieu de travail. Je refuse d'étudier affamé. J'ai donc décidé de rester à ma maison afin de déjeuner car il faut expliciter ma raison de mon départ : un cours de sport épuisant puis quatre heures de cours l'après-midi. Comment peut-on rester en état d'attention et de prise de notes en pensant sans cesse à manger ? M'enfin ! Comme le dit mon professeur de français : "Si vous avez sommeil, restez chez vous." Par conséquent, si l'on a fait également.
Je trouve cela étrange de ne pas être indulgent envers les personnes affamées et venant à peine de sortir de cours (EPS, de surcroît !). Pensera ce que chacun voudra, il faut parfois prendre des décisions qui ne plaisent certes pas à tout le monde, mais les plus raisonnables possible.
Prenons donc un peu de repos après une dure matinée.

See ya !