jeudi, décembre 28, 2006

La porte est toujours fermée.

Hello,

Tout d'abord, félicitations à Blogger pour avoir supprimé la mise à jour par publication qui prenait de plus en plus de temps sur mon blog. Je suppose que ça sera mieux pour l'instant, mais je suis sûr que ça sera long ultérieurement, un peu comme sur Skyblog.

Heureusement que la musique conserve un peu ma mémoire. Ce matin, j'avais la chanson Luka de Suzanne Vega dans ma tête. Par souci mémotechnique, je me suis souvenu de mes cours de troisième, en particulier en anglais, car j'ai travaillé sur ce morceau. Je me rends compte aussi de mes années passées à structurer mon anglais au collège. Mes professeurs ont été excellents puisque, petit à petit, j'arrive à comprendre des discours ou des chansons en anglais du premier coup (ou après plusieurs écoutes...), tout ça parce que j'ai été entraîné sur des cassettes audio. C'est formidable comment des exercices peuvent améliorer vos capacités ; à long terme, ça devient efficace. Pareil pour les verbes irréguliers. Qu'y a-t-il de plus éreintant que d'apprendre des listes par cœur... Ce n'est pas passionant et pourtant il a fallu le faire. La méthode de mon premier professeur d'anglais au collège était la suivante : une faute, cinq points. Rien de pire pour motiver. Des zéros, j'en ai récolté au début, parce que je ne pensais pas qu'on allait en avoir durant toute l'année. J'ai dû réviser, réviser, réviser... Au final, je maîtrise quasiment toutes les formes. C'est l'une des seules fois où j'ai véritablement travaillé. Ça m'a fait mal, mais j'ai persisté.

La mémoire est un bel outil pour l'homme. Grâce à elle, je suis capable de me souvenir de très bons moments passés ou d'autres, plus déchirants, qui nous évitent de faire la même erreur cependant. Je crois que c'est l'unique chose à conserver de l'être humain, parce qu'elle nous est toujours utile.


See ya !

mercredi, décembre 13, 2006

Roule, roule, petit scooter.

Hello,

Ce soir je viens de créer l'évènement. J'ai changé de compte : en passant de Blogger je suis arrivé à un compte Google. Chouette. Je vais pouvoir dormir sur mes deux oreilles ce soir.

La bonne nouvelle, c'est que j'ai aperçu quelques améliorations pour éditer le blog. Déjà, c'est beaucoup plus facile dans la mise en page puisqu'il s'agit de faire basculer en haut ou en bas avec sa souris. Les couleurs et les polices peuvent être changées plus aisément aussi. Il y a même un aperçu de la pagaille en dessous. Niveau couleurs, j'ai été déçu par le choix qu'ils proposent : c'est quasiment ridicule. Pour prendre un ton bleu azur, c'est pas évident ; ma couleur aussi. Heureusement que la page HTML existe toujours et qu'il est possible d'éditer soi-même ce que l'on veut. M'enfin.

Nous sommes presque à la mi-Décembre. Une année s'achève bientôt et nous verrons le chiffre sept s'aligner un peu partout. Personnellement, ça ne me change rien (quoique, mon anniversaire est proche du premier Janvier...) étant donné que ma courte vie persiste. A moins que, dans la nuit du "réveillon" au début du mois de Janvier, des antennes poussent sur ma tête. Ce ne serait pas trop mal d'ailleurs, je pourrai communiquer avec les fourmis et leur dire d'arrêter de voler mes cookies. Méchantes fourmis. Mais revenons à l'idée principale qui est la fin de l'année. Ce qui me fait bizarre, c'est qu'on choisisse un jour d'hiver pour fêter le nouvel an. Bêtises ! Mieux vaut le faire en été, comme ça, le froid, on s'en tamponnerait. Ah mais il a fallu que ça tombe en plein début d'hiver... Misère de malheur de cookie...

La bonne nouvelle, c'est que ma santé tient la route en ce temps-ci. D'habitude, je me retrouve à m'enrhumer durant toute la journée, avec ce nez qui m'irrite sans cesse et cette ignoble envie de dormir en cours. Manger des fruits (surtout les agrumes, avec de la vitamine C, miam) m'aide à tenir toute une journée sans tomber malade, et j'en suis satisfait. Il faut dire également que je me protège contre le froid : j'ai des chaussons - énormes - pour mes pieds et je porte des mitaines dans le but de pouvoir taper au clavier sans souci, tandis qu'avec les gants c'est impossible. Je ne vous parle même pas des moufles...

Pour garnir cet article d'une image, voici une création à mes semai...heures perdues :



See ya !

vendredi, décembre 08, 2006

Le raton-laveur a raté la marche

Hello,

Faisons un tout petit point sur cette journée pour commencer : matinée impeccable. J'ai eu la bonne surprise que mon professeur d'anglais était absent; je travaille l'anglais durant deux heures d'affilée. Je suis rentré chez moi plus tôt que prévu et je me suis détendu comme à l'habitude.

Il se met à pleuvoir. Foutu toit qui fuit. Encore heureux que ça ne touche pas grand-chose, mais je crains que dans quelques années ça devienne plus grave...

L'après-midi est rythmé par le devoir surveillé d'histoire. Très facile. En une heure, j'ai été capable de rassembler une quantité suffisante d'informations et de connaissances pour rédiger un devoir complet. Reste à savoir si ce que j'ai écrit n'est pas hors-sujet. Chouette, il ne pleuvait pas en sortant !

En rentrant, je longeais le cimetière près de chez moi. J'ai pensé soudainement à la mort. Pour quelle raison les gens ont peur de la mort ? Je suis d'accord sur le point qu'une personne définitivement absente peut changer le cours d'une vie d'un autre. C'est très difficile de faire le deuil, en particulier d'un membre de sa famille (proche, pas le cousin anglo-saxon au soixantième degré); les choses changent subitement et il faut s'y faire. Le problème, c'est que faire le deuil est éprouvant psychologiquement. Pas évident de vivre avec un cadavre dans ses pensées. A imaginer qu'il vous parlait la veille donne des frissons, en tout cas c'est que je me représente. Craindre la mort, c'est aussi craindre que nous ne puissions plus agir comme vivants. Nos passions, nos relations, notre existence se réduirait à un écran noir. Enfin, certains redoutent ce qui arrive après la mort. Verra-t-on être mené à vivre au Paradis ou aux Enfers ? Deviendra-t-on quelqu'un ou quelque chose d'autre ? Sera-t-on encore présent sur Terre ? Ces réflexions peuvent faire mal au crâne si on y pense trop. Sérieusement, même si je suis encore jeune et par conséquent apte à vivre longtemps, je suis conscient que je peux mourir à n'importe quel instant, que ce soit dans dix ans, demain ou tout de suite. Quel impact ma mort entraînerait-elle au sein de ceux que je connais ? Aucune idée, puisque je ne serai plus. Probablement de la tristesse et de l'amertume. Où irais-je une fois mort ? Je redeviendrai de la poussière.

Au fond, ce n'est pas si dramatique de mourir, bien que ça puisse briser le moral des autres.








La souffrance est pire que la mort.

(http://www.newgrounds.com/portal/view/352950 => Blockhead, the Game)
See ya !

lundi, décembre 04, 2006

Logique des poubelles

Hello,

Je vous fais part ce soir d'une joie récemment découverte grâce à un ami : l'Ambient.
Qu'est-ce que c'est que ce zorg, me direz-vous ? L'Ambient n'est pas la dernière marque d'un désodorisant, mais c'est un style de musique qui se rapproche d'une... ambiance. En effet, le but que je ressens par la musique est de rechercher un décor auquel je puisse fixer la musique. Prenons un exemple. Lichtschleier de Vinterriket. D'une atmosphère douce, on entend soudainement le vent souffler au loin, ramenant parfois une brise devant nous ; on peut aussi écouter la mer qui s'écrase sur le sol. Pour ma part, j'ai l'impression de revoir une scène tirée de Frankenstein, lorsque Robert Walton est encerclé par un mur de glace, incapable d'avancer. Le brouillard s'épaissit et il ne peut plus rien voir. Pourtant, en se dissipant, il se retrouve abandonné sur son navire. Le ciel étoilé et tâché par la pleine lune sur une mer tout à fait calme émerge par la musique. C'est très vivifiant si l'on se concentre sur les mélodies; l'imagination fait son travail et permet à tout le monde d'interpréter différemment. Grâce aux extraits que j'ai reçus par mon ami, je peux passer d'une scène sur mer à un décor souterrain et étouffant. Il y a beaucoup de possibilités à exploiter par ces musiques. Je vous recommande d'écouter cela la nuit, de préférence seul pour profiter pleinement de cette fraîcheur d'esprit (l'imaginaire).

Le monde des rêves est toujours beau, car on le façonne de nos propres expériences. Rien n'arrive au hasard et tout est malléable comme de l'argile. Ah ! Quelle douceur que ce monde enfoui dans notre cerveau. Tout à fait merveilleux...




See ya !

samedi, décembre 02, 2006

Rhythm in the Bathroom

Hello,

Hier j'ai reçu un drôle de courrier. Etant donné que je rédige un blog, je me suis dit que c'est l'occasion de poster un article :

"Monsieur,

Récemment, j'ai trouvé votre skyblog en cherchant un carton sur Google. Intrigué par vos rédactions, je me suis mis à lire avec assiduité vos articles tous très intéressants.

Cependant, laissez-moi vous dire que vous avez fait une grossière erreur lors du dernier article. En effet, cela m'a frappé au visage car j'ai procédé à une recherche pointilleuse sur un de vos termes.

L'image qui illustre l'article Dave est un gros abruti n'est aucunement une orange, mais une mandarine.

Veuillez agréer, Monsieur, l'expression de mes sincères sentiments.

Cordialement,
xxxx
(le pseudo a été censuré)"

Incroyable. Impossible. Impensable.
J'en suis tout retourné. Effectivement, si on regarde de plus près, la forme de l'agrume est assez aplatie, ce qui fait penser à une mandarine... J'ai relu quand même plusieurs fois le mail afin de déceler les messages subliminaux puis j'ai supprimé ce mail.

M'enfin, passons.

Aujourd'hui, avec l'aide d'un ami, je me suis lancé dans un travail épuisant : l'ECJS. Ne faites pas la même erreur que moi et oubliez cette matière purement inutile en classe de Terminale. Il suffit juste de copier-coller deux textes et le tour est joué. Réciproquement, mon professeur d'histoire-géographie-ECJS a une manie de ne rien faire en cours. C'est assez motivant pour mon futur, car je désire "travailler" dans une branche peu endurante.

Au moment où je vous écris, j'apprends que le peuple chinois envisage d'attaquer l'Inde à coups de bambous rose bonbon. Soyez prudents, prenez un parapluie.

See ya !