Juxtapose cirrhose
Ce n'est pas évident.
Tout est si vain. Si creux. On vous écrase par les mots, par les images, vous en voulez toujours plus. C'est comme si vous ne viviez que pour ça. Votre intérieur sent la putréfaction. Je pensais que je sentais mauvais, alors que c'est votre odeur qui s'imprègne sur moi. Ça colle, ça suinte, ça empeste.
Qu'ai-je fait ? Le simple moment où vous me parlez j'ai déjà cette envie de vous coudre les lèvres. Arrêtez de me gaver de vos beaux discours. Soyez franc. Combien de fois avez-vous eu le besoin de parler ? Pourquoi cette haine envers le Néant ? Cherchez plutôt à s'acclimater avec lui.
Asseyez-vous et observez. Observez comment les choses tournent sans vous. Observez combien votre "contribution" apporte à ce monde. Vous ne voyez toujours pas ? Je ne suis pas votre ami, ni votre parent, alors ne me demandez pas la solution.
Dès que vous êtes heurté à quelque chose, la faute revient à l'autre. Toujours à l'autre. Ceux qui se culpabilisent ont été persécutés par d'autres auparavant, c'est tout. Et ceux-là ont aussi été persécutés par d'autres. Un cercle, des générations de persécution. L'origine n'existe pas.
Asseyez-vous et réfléchissez. Réfléchissez à ce qu'on vous dit, ce qu'il se passe. Réfléchissez seul.
Ça prend du temps, ça peut vous prendre tout votre temps. Vous n'y arrivez pas ? Je vous l'accorde, une aide s'avère importante.
L'autre.

Tout est si vain. Si creux. On vous écrase par les mots, par les images, vous en voulez toujours plus. C'est comme si vous ne viviez que pour ça. Votre intérieur sent la putréfaction. Je pensais que je sentais mauvais, alors que c'est votre odeur qui s'imprègne sur moi. Ça colle, ça suinte, ça empeste.
Qu'ai-je fait ? Le simple moment où vous me parlez j'ai déjà cette envie de vous coudre les lèvres. Arrêtez de me gaver de vos beaux discours. Soyez franc. Combien de fois avez-vous eu le besoin de parler ? Pourquoi cette haine envers le Néant ? Cherchez plutôt à s'acclimater avec lui.
Asseyez-vous et observez. Observez comment les choses tournent sans vous. Observez combien votre "contribution" apporte à ce monde. Vous ne voyez toujours pas ? Je ne suis pas votre ami, ni votre parent, alors ne me demandez pas la solution.
Dès que vous êtes heurté à quelque chose, la faute revient à l'autre. Toujours à l'autre. Ceux qui se culpabilisent ont été persécutés par d'autres auparavant, c'est tout. Et ceux-là ont aussi été persécutés par d'autres. Un cercle, des générations de persécution. L'origine n'existe pas.
Asseyez-vous et réfléchissez. Réfléchissez à ce qu'on vous dit, ce qu'il se passe. Réfléchissez seul.
Ça prend du temps, ça peut vous prendre tout votre temps. Vous n'y arrivez pas ? Je vous l'accorde, une aide s'avère importante.
L'autre.

NE VOUS RETOURNEZ PAS