Dave est un gros abruti
Hello,
Motivé par ce refoulement d'idées, j'ai décidé d'écrire un second article le même jour. Cela n'arrive que très rarement, des jours d'éclipse ou lors de la visite inattendue de Tommy Lee Jones.
En effet, j'ai une - petite - envie de parler des détournements (non pas de fonds, mais de scènes de film par exemple).
En quoi consiste donc le détournement ? Le procédé relève de posséder une quantité astronomique de dégénérescence mentale (pour les idiots, un coup de marteau sur la tête suffit), un téléviseur, un lecteur DVD (non obligatoire) et d'une ou plusieurs voix claires.
La recette est facile : prenez un film que vous aimez - ou détestez, mettez le volume au minimum et refaites les dialogues. Cela peut aller parfois très loin, jusqu'à faire du montage ou encore en utilisant des doubleurs professionels. Je pense ici à Michel Hazanavicius (le nom a été copié-collé afin d'éviter une troisième guerre mondiale) et Dominique Mézerette, auteurs du Grand Détournement ou La Classe Américaine. A partir de plusieurs films, ils ont imaginé un scénario pour que tout tienne la route. Ainsi John Wayne, Dustin Hoffman ou encore Paul Newman se côtoient pour le pire et pour le pire (pour des raisons de sécurité, le nom de Orson Welles ne sera pas cité, au risque d'éventuelles poursuites judiciaires). Ce type de détournement a suscité des émules, notamment chez el Mozinor, autre maître du détournement. Son site officiel regorge de détournements devenus "Külte" comme Bite It, 007, la saga de Cosmos 99, les Reculeurs, le Chinois est mort. A noter que Mozinor édite toutes les voix (même Christophe Lambert), ce qui est une performance incroyable (en fait il exploite des ouvriers bulgares dans son sous-sol).
Je vous conseille vivement de fréquenter le site officiel de Mozinor qui propose non seulement ses œuvres, mais aussi l'anthologie des détournements, régulièrement mis à jour : http://gernonimoz.free.fr/
Pour illustrer cet article, il n'y aura évidemment aucune image d'Orson Welles. Pour compenser, voici une orange :

See ya !
Motivé par ce refoulement d'idées, j'ai décidé d'écrire un second article le même jour. Cela n'arrive que très rarement, des jours d'éclipse ou lors de la visite inattendue de Tommy Lee Jones.
En effet, j'ai une - petite - envie de parler des détournements (non pas de fonds, mais de scènes de film par exemple).
En quoi consiste donc le détournement ? Le procédé relève de posséder une quantité astronomique de dégénérescence mentale (pour les idiots, un coup de marteau sur la tête suffit), un téléviseur, un lecteur DVD (non obligatoire) et d'une ou plusieurs voix claires.
La recette est facile : prenez un film que vous aimez - ou détestez, mettez le volume au minimum et refaites les dialogues. Cela peut aller parfois très loin, jusqu'à faire du montage ou encore en utilisant des doubleurs professionels. Je pense ici à Michel Hazanavicius (le nom a été copié-collé afin d'éviter une troisième guerre mondiale) et Dominique Mézerette, auteurs du Grand Détournement ou La Classe Américaine. A partir de plusieurs films, ils ont imaginé un scénario pour que tout tienne la route. Ainsi John Wayne, Dustin Hoffman ou encore Paul Newman se côtoient pour le pire et pour le pire (pour des raisons de sécurité, le nom de Orson Welles ne sera pas cité, au risque d'éventuelles poursuites judiciaires). Ce type de détournement a suscité des émules, notamment chez el Mozinor, autre maître du détournement. Son site officiel regorge de détournements devenus "Külte" comme Bite It, 007, la saga de Cosmos 99, les Reculeurs, le Chinois est mort. A noter que Mozinor édite toutes les voix (même Christophe Lambert), ce qui est une performance incroyable (en fait il exploite des ouvriers bulgares dans son sous-sol).
Je vous conseille vivement de fréquenter le site officiel de Mozinor qui propose non seulement ses œuvres, mais aussi l'anthologie des détournements, régulièrement mis à jour : http://gernonimoz.free.fr/
Pour illustrer cet article, il n'y aura évidemment aucune image d'Orson Welles. Pour compenser, voici une orange :

See ya !