Le chemin vers la commode
Hello,
Dure journée hier. Convié à une fête d'anniversaire, j'ai dû laisser de côté tout sentiment de honte (les invités font presque tous partie du lycée, forcément on reconnaît les têtes, mais cela ne signifie pas qu'on les connaît), même si au départ j'ai eu du mal à me lancer. Cette soirée s'est bien déroulée d'après moi. Rien ne pouvait m'empêcher d'être joyeux et de danser sur la piste comme un effréné. Je le reconnais, je danse très mal, néanmoins j'ai laissé cours à mon désir de bouger sans interruption : un effet fantastique. Je me suis senti tellement bien que je pouvais dégager les autres dehors et me dandiner seul. Dommage qu'une douleur à la jambe gauche stoppe mes projets de la soirée. Du côté des autres, je n'ai rien à dire en particulier, si ce n'est qu'un groupuscule s'est retrouvé la gueule déformée par l'ivresse.
L'heure a avancé. Je perds du temps de sommeil. Horreur ! Je vais me retrouver dans un état de dure somnolence cette semaine ! Il n'y a pas beaucoup à s'affoler dans le fond, mais à court terme c'est assez contraignant.
En rentrant de la soirée, dans un paysage désert appauvri par le climat hivernal, j'ai senti cette petite jouissance eue jadis, celle de se retrouver seul dans la nuit glaciale. J'ai eu l'impression que le temps s'était arrêté, l'humanité n'existait plus, me laissant à la merci de l'épreuve de la folie. Un peu comme le héros du film 28 Jours plus tard qui se réveille dans un environnement urbain désespérément vide. Tous ces lieux, pourtant habitués à être éclairés et peuplés, se sont retrouvés sans âme pendant ma promenade. Le cimetière que je longe n'a rien à envier au reste, je dirais même que les pierres tombales ont eu plus de vie que ce qui se trouve autour. Un endroit froid, terrifiant, pourtant fascinant. Cela me donne envie de retourner en vacances dans la région tchéquo-polonaise que j'ai fréquentée il y a deux ans. Ce même sentiment, celui de se retrouver seul au milieau des massifs rocheux, habités par une atmosphère frissonante.
Aujourd'hui, je teste le Dewplayer, qui permet de diffuser une musique sur Internet sous la forme d'un petit lecteur. J'espère que cela aura le même succès que la vidéo.
Aghast - Enter the Hall of Ice
See ya !
Dure journée hier. Convié à une fête d'anniversaire, j'ai dû laisser de côté tout sentiment de honte (les invités font presque tous partie du lycée, forcément on reconnaît les têtes, mais cela ne signifie pas qu'on les connaît), même si au départ j'ai eu du mal à me lancer. Cette soirée s'est bien déroulée d'après moi. Rien ne pouvait m'empêcher d'être joyeux et de danser sur la piste comme un effréné. Je le reconnais, je danse très mal, néanmoins j'ai laissé cours à mon désir de bouger sans interruption : un effet fantastique. Je me suis senti tellement bien que je pouvais dégager les autres dehors et me dandiner seul. Dommage qu'une douleur à la jambe gauche stoppe mes projets de la soirée. Du côté des autres, je n'ai rien à dire en particulier, si ce n'est qu'un groupuscule s'est retrouvé la gueule déformée par l'ivresse.
L'heure a avancé. Je perds du temps de sommeil. Horreur ! Je vais me retrouver dans un état de dure somnolence cette semaine ! Il n'y a pas beaucoup à s'affoler dans le fond, mais à court terme c'est assez contraignant.
En rentrant de la soirée, dans un paysage désert appauvri par le climat hivernal, j'ai senti cette petite jouissance eue jadis, celle de se retrouver seul dans la nuit glaciale. J'ai eu l'impression que le temps s'était arrêté, l'humanité n'existait plus, me laissant à la merci de l'épreuve de la folie. Un peu comme le héros du film 28 Jours plus tard qui se réveille dans un environnement urbain désespérément vide. Tous ces lieux, pourtant habitués à être éclairés et peuplés, se sont retrouvés sans âme pendant ma promenade. Le cimetière que je longe n'a rien à envier au reste, je dirais même que les pierres tombales ont eu plus de vie que ce qui se trouve autour. Un endroit froid, terrifiant, pourtant fascinant. Cela me donne envie de retourner en vacances dans la région tchéquo-polonaise que j'ai fréquentée il y a deux ans. Ce même sentiment, celui de se retrouver seul au milieau des massifs rocheux, habités par une atmosphère frissonante.
Aujourd'hui, je teste le Dewplayer, qui permet de diffuser une musique sur Internet sous la forme d'un petit lecteur. J'espère que cela aura le même succès que la vidéo.
Aghast - Enter the Hall of Ice
See ya !